La supervision s’adresse à l’origine à tout professionnel de la relation d’aide (psychanalystes, psychothérapeutes, psychologues, professionnels de santé, assistants sociaux, coaches, etc.), confronté dans sa pratique à des difficultés à gérer sa relation à son patient, coaché, interlocuteur. Elle lui permet également – et ce n’est pas le moindre de ses bénéfices – de sortir de la solitude d’un exercice souvent lourd émotionnellement car il peut réactiver des souffrances personnelles même résolues et passées.
A quoi ça sert et comment ça marche ? A l’origine, la relation de transfert en psychanalyse…
Ces difficultés sont liées à la relation transférentielle qui s’instaure entre psy et patient mais aussi – même si elle n’est pas, comme en psychanalyse, le levier et le moteur de l’action thérapeutique – dans toute relation d’aide.
La supervision permet de travailler les difficultés liées à la manifestation du transfert et du contre-transfert (ce qui est ressenti par le professionnel à l’égard de son interlocuteur) afin de sortir des blocages qu’elles engendrent. Elle vous permet ainsi de conserver votre efficacité et de retrouver votre juste positionnement vis à vis de votre interlocuteur.
La supervision au delà des psychanalystes, psychothérapeutes, professionnels de santé : les professionnels des Ressources Humaines, les Magistrats, les forces de Police, les avocats
Par extension, la supervision est également proposée aux professionnels des Ressources Humaines, au Magistrats, aux membres des forces de Police, aux Avocats parce que confrontés à des situations souvent chargées émotionnellement. Cette approche vous apporte soutien et clarification dans vos implications professionnelles.